Plus robustes, les plantes sauvages sont aussi plus riches et plus nourrissantes.

La cuisine sauvage, de plus en plus de chefs l’adore. Ils subliment l’ail des ours, la berce commune, les pissenlits, la reine des prés, les asperges sauvages ou la pensée des montagnes, d’autres ajoutent les fleurs d’érythrone et de silène. Il ne faut pas oublier qu’elles ont d’abord constitué le menu de nos ancêtres. Les végétaux offrent aujourd’hui une occasion unique de se reconnecter à la nature.

Vous avez du mal à reconnaitre les plantes ou les fleurs, une application pour smartphone, Pl@ntNet, vous permet d’identifier ces dernières grâce à un système de reconnaissance d’images. L’application fonctionne comme un véritable Shazam botanique. Grâce à sa base de données de plus de 4100 références, elle permet de comparer la photo prise à partir de votre smartphone avec ses données afin d’identifier l’espèce photographiée. Les plantes référencées sont des espèces sauvages de la flore française métropolitaine. Le nombre d’espèces traitées, ainsi que le nombre d’images exploitées évoluent avec les contributions des utilisateurs au projet.

L’ail des ours, un délice souvent méconnu…

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L’ail des ours est plutôt rare, on l’apprécie d’autant plus lorsque qu’on arrive à s’en procurer

L’ail des ours, une variété sauvage de l’ail alimentaire qui se récolte au printemps, diffuse un délicat parfum d’ail et est un vrai trésor pour les papilles.

Cette plante médicinale a des les feuilles qui ressemblent à celles du muguet ou du colchique d’automne. Ne les confondez surtout car le muguet est hautement toxique. Les feuilles de l’ail des ours sont plus souples, moins rigides et ont une odeur particulière d’ail quand on la froisse.

L’ail des ours recèle de nombreuses vertus : contre le mauvais cholestérol, il contribue à faire baisser la tension artérielle et a un effet dépuratif et antiseptique intestinal… il est très riche en vitamine C.

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L’aillet, à déguster à la croque-au-sel…

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Ce légume/condiment cultivé surtout dans le sud ouest est synonyme de printemps

Il ressemble a un mini poireau et on peut le confondre avec les jeunes oignons vendus en botte. Il est possible de les différencier en regardant les feuilles, elles sont plates alors que celles de l’oignon sont creuses.

Il s’agit d’une jeune pousse d’ail de 3 mois et environ 20 cm dont le bulbe n’est pas encore formé. Il est récolté au printemps.

Il peut être utilisé comme condiment, finement ciselé ou cuit, dans des omelettes, des salades, des quiches, des viandes mijotées… À la croque-au-sel est une façon de consommer les légumes, crus, accompagnés de sel et parfois de beurre.

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Asperge sauvage : la chasse est ouverte !

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Comment les trouver, les reconnaître et les manger, quand les ramasser ?

Les asperges sauvages, c’est maintenant, elles sortent au printemps en même temps que les tulipes et aiment se dévoiler entre les giboulées de Mars et Avril.

Quelques gouttes d’eau, un peu de soleil et les conditions optimales sont réunies, et cette année, avec les conditions météorologiques, elles sont un peu en avance.

Pour reconnaître les asperges sauvages, c’est un jeu d’enfant et ils adorent cette cueillette. Elles sont faciles à identifier, et contrairement aux champignons, une fois qu’on a compris il n’y a pas de doute ni de risque d’empoisonnement.

En fait, si elle n’est pas ramassée, l‘asperge sauvage qui vieillit se transforme en une plante vivace appelée communément Asparagus. Celle-ci est très facile à reconnaître, dans la campagne, en forêt où en lisière des champs de vigne. Les abords des rivières et des ruisseaux en regorgent. Néanmoins, si les asperges sauvages sont plus juteuses et croquantes près des points d’eau, cette proximité n’est pas une nécessité. L’Asparagus est une plante très répandue, sur la photo c’est celle qui a de petites aiguilles.

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La mâche sauvage, un bonheur pour la santée

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La mâche, aussi appelée Doucette, est une salade d’hiver qui se consomme sauvage ou cultivée.

 

La mâche pousse dans les lieux sableux, limoneux, à forte humidité atmosphérique, sur les bords des chemins, les fossés, les berges des ruisseaux. Elle a une préférence pour les sols riche en limons, en silice et en calcium.

C’est une plante annuelle en rosette, avec des feuilles opposées, plus allongées en général que la mâche des jardins, spatulées, entières ou légèrement dentées. La mâche sauvage est plus petite et plus fine que les variétés cultivées.

La mâche est riche en chlorophylle, en oméga 3, en potassium, en phosphore, en vitamines A, B et C. Elle est plus nutritive que la laitue. Elle favorise la digestion et est excellente à manger, crue en salade, seule ou mélangée.

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L’ortie, une plante aux mille vertus

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Mieux connaître cette plante à tout faire

 

Les ortie sont des plantes herbacées à feuilles opposées, pétiolées, fortement dentées ou incisées, à stipules libres, de forme elliptique. Les plantes sont hérissées de poils raides sécrétant un liquide très irritant. L’ortie prolifère dans les lieux en friches, dans les campagnes, au bord des routes et des murets mais il lui arrive aussi de s’installer dans nos jardins.

Les orties sont de la famille des Urticacées qui regroupe une trentaine d’espèces de plantes herbacées à feuilles velues. En Europe de l’Ouest, les espèces les plus courantes sont la grande ortie (50 cm à 1 mètre, vivace) et l’ortie brûlante (moins de 50 cm, annuelle)

Les orties sont comestibles. Elles contiennent les huit acides aminés essentiels et des protéines à raison de 8 à 20 % de leur poids frais, 16 à 40 % de leur poids sec (une portion de 300 g d’ortie cuite apporte ainsi la ration journalière de protéines), du fer à raison de 7,8 mg pour 100 g et du calcium à raison de 630 mg par 100 g. Elles sont utilisées en soupe, soufflés ou en remplacement des épinards.

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Pissenlit, une salade délaissée à cultiver

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Le pissenlit, une plante pas si simple que ça !

On appelle « pissenlit » diverses plantes à tige généralement creuse et dont l’inflorescence est un capitule plat et jaune. Ce capitule est généralement à fleurons ligulés. C’est la couleur jaune du capitule et sa forme plate qui déterminent généralement l’emploi du nom « pissenlit » pour désigner telle ou telle espèce.
Le pissenlit aime un sol frais ainsi qu’un climat tempéré avec une situation ensoleillée.

Les feuilles (très riches en vitamine C et β-carotène), les fleurs et les racines des pissenlits dits « communs » ou « officinaux » sont également consommées. On remarquera que « pissenlit commun » est également une appellation vague qui regroupe plusieurs espèces, qu’il est parfois difficile de différencier.

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Poireaux sauvages, poireaux de vigne…

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Quand on a goûté aux poireaux sauvages, les poireaux du jardin paraissent insipides…

Le poireau sauvage ou poireau de vigne est une plante herbacée et vivace. Il ressemble énormément au poireau cultivé tant par l’aspect que par l’odeur. Il est néanmoins plus frêle et la base a une forme renflée d’oignon beaucoup plus prononcée. Il possède de très nombreuses bulbilles qu’il faudrait repiquer au même endroit de cueillette. La partie blanche est plus courte et moins grosse que celle du poireau cultivé. La partie fleurie, de 5 cm de diamètre, se développe au bout d’une longue tige. Elle est sphérique et est composée de fleurs rosées en ombelle.

Les vertus du poireau : il est diurétique, il est laxatif, très digeste, recommandé aux personnes sujettes aux calculs rénaux. Il est excellent contre toutes les inflammations des voies respiratoires, l’extinction de voix, la toux, les maux de gorge.

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